Poids lourd du Nasdaq, Facebook a plongé de 4,89% à 326,23 dollars, cumulant les déboires entre les accusations d’une lanceuse d’alerte sur la politique du groupe et une panne majeure affectant l’accès à ses réseaux et messageries de plusieurs millions de ses utilisateurs.
Depuis ses sommets début septembre, le titre a perdu 15%. Le réseau social est d’abord en butte aux accusations d’une lanceuse d’alerte qui va témoigner devant le Congrès mardi pour affirmer que Facebook choisit « le profit plutôt que la sûreté ». Des recherches internes au groupe ont montré que son réseau social Instagram a des effets négatifs sur le moral des adolescentes. A cela s’est ajoutée lundi une méga-panne de plusieurs heures empêchant l’accès aux quatre réseaux et messageries du groupe Facebook, Instagram, Whatsapp et Messenger d’ordinaire fréquentés tous les mois par quelques 3,5 milliards de personnes dans le monde. A cause de la chute de ses actions, le patron du groupe Mark Zuckerberg, 37 ans, a perdu plus de 6 milliards de dollars en quelques heures, faisant tomber sa fortune à 121,6 milliards, affirme un décompte de Bloomberg. Ses pertes atteignent 15 milliards depuis la mi-septembre. Facebook est une des plus importantes capitalisations de Wall Street, se rangeant en général derrière Apple, Microsoft, Google (Alphabet) et Amazon.
La dernière panne significative de Facebook remonte à 2019, lorsqu’une erreur technique avait affecté ses sites pendant 24 heures, selon le NY Times. Le site Downdetector, qui suit les pannes des services numériques, a identifié celle de ce lundi comme étant « la plus importante qu’il ait jamais observée ». Au-delà d’être des outils de connexion sociale, Facebook et ses applications Messenger, Instagram et WhatsApp, qui regroupent 2,8 milliards d’utilisateurs (2020), sont utilisés pour diverses raisons qui vont des simples relations humaines à des activités de business sur lesquelles comptent de nombreuses personnes, y compris en Afrique. Ce n’est pas la première fois qu’une telle situation survient. Le 19 mars 2021 dernier, Facebook avait déjà dû s’excuser auprès de ses utilisateurs. La valeur en bourse du groupe de réseaux sociaux était en chute de 5,5 % à 19 heures (temps universel), sans qu’on ne puisse savoir si le bug en était la cause. Facebook est l’une des valeurs les plus fortes des places boursières américaines, avec une valorisation de 961 milliards $, que se partagent quelque 3958 investisseurs institutionnels et individuels.
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