Le Cercle des amis du Cameroun a rétrocédé des bâtiments construits et d’autres réhabilités dans les écoles publiques d’Efoulan et Minkeng, et distribué de milliers de dons aux élèves, enseignants et femmes rurales.
Le 28 février 2020 était jour de fête à Efoulan, arrondissement niché dans l’épaisse verdure de la forêt équatoriale luxuriante, région du Sud, au nord-ouest du département de la Mvila, à une trentaine de kilomètres d’Ebolowa. La ville a eu l’insigne honneur d’accueillir la caravane humanitaire et de bienfaisance du Cercle des amis du Cameroun (CERAC). « Il s’agit certainement du plus grand évènement populaire à retentissement national que vit notre jeune arrondissement », confia une élite. La présidente fondatrice du CERAC, Chantal Biya, était représentée par la coordonnatrice générale, Grâce Dion Ngute qui conduisait une importante mobilisation des membres de cette organisation.
Une visite inoubliable pour les populations des groupements Mekoto Jaman 1, Mekoto Jaman 2, Mekoto Jaman 3, Ngonebok-Abo’ontomba, rattachées à l’arrondissement d’Efoulan depuis le 23 avril 2007.
Les réalisations du CERAC
À travers le CERAC, la première dame Chantal Biya a fait de l’école comme « ascenseur social », un principe sacré. C’est ainsi que les populations défavorisées peuvent s’élever socialement, changer radicalement leurs conditions d’existence, accéder à des classes sociales supérieures.
Deux bâtiments construits et d’autres rénovés et équipés à l’école publique primaire francophone d’Efoulan. Deux bâtiments réhabilités et équipés dans les écoles publiques maternelles primaires bilingues de Minkeng. Des réalisations rétrocédées accompagnées des dons aux élèves et enseignants de la localité.
L’élan de générosité du CERAC et de sa présidente fondatrice, n’a pas oublié les femmes rurales, membres des réseaux et autres associations. En leur faveur : pousse-pousse, brouettes, pulvérisateurs, machettes, houes, moulins, tronçonneuses, et intrants agricoles. Une sollicitude à laquelle Efoulan et ses populations ont répondu en cœur par une chatoyante gratitude.
« Akeva a Nyia Meyong !»
Conscientes que la première dame est soucieuse, de leur bien-être, de leur avenir, de leur devenir, les populations des 40 villages de l’arrondissement sont venues dire leur enthousiasme, leur joie, leur extrême gratitude, leurs espoirs à la présidente fondatrice du CERAC, Madame Chantal Biya. Cette gratuite était perceptible à travers les décorations, les chants et danses, et surtout les prises de paroles.
« La visite du CERAC et de sa présidente fondatrice aux femmes rurales d’Efoulan arrive à point nommé. En accompagnant la femme rurale, en lui donnant les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs stratégiques fixés s’agissant de la lutte contre la pauvreté, le CERAC et sa présidente fondatrice font œuvre fort utile », a reconnu la représentante des femmes rurales.
« Merci, Maman Chantal Biya, parce que le CERAC a rendu belle mon école. Merci parce que depuis que le CERAC est venu ici chez nous, nous sommes joyeux, notre directeur est très content, tous les maîtres et nos parents. Aussi Maman Chantal Biya, continue à aider les autres écoles qui ont besoin de ton aide », témoigne Ngo Konlog Berthe Doriane du CE2 de l’école publique d’Efoulan.
« Merci à Madame Chantal Biya, présidente fondatrice du CERAC. Je suis un homme comblé, je dirais même un homme qu’on a sorti des ténèbres pour la lumière. L’école publique d’Efoulan créée en 1944, a fait bon chemin, et souffrait déjà de son âge. Avant l’arrivée du CERAC. Les bâtiments étaient dans un état de délabrement très avancé ; je dirais même qu’elle était en piteux état. Grâce au CERAC et à sa présidente fondatrice, la première dame du Cameroun, Madame Chantal Biya, elle a pu nous sortir de ce que je qualifie de ténèbres pour la lumière. Pour tout cela, nous disons merci. Vous savez Maman Chantal, qui dit merci en redemande. Nous souhaitons que Maman Chantal Biya puisse doter notre désormais belle école, d’une clôture pour sécuriser nos infrastructures », confie Tassipon Anatole, directeur de l’école publique d’Efoulan.
« Nous recommandons de faire bon usage des infrastructures, équipements, matériels et outils offerts par la première dame. Ces dons doivent servir l’intérêt général », a déclaré Grâce Dion Ngute visiblement habitée par la satisfaction du devoir bien accompli à Efoulan.