La boutique spécialisée dans la vente des perruques et des salons artisanaux a été officiellement ouverte le 10 juillet dernier à Los Angeles.
« Merci à tous ceux qui m’ont toujours soutenu. Mon bébé a vu le jour », a écrit Brenda Biya le 11 juillet 2020 sur son compte Twitter. 89 ans après James Truslow Adams, Brenda Biya, digne fille Yezum au cœur de la forêt luxuriante équatoriale, se lance à la conquête de l’Amérique avec en ligne de mire le sommet. Depuis avril, la jeune dame s’est mise à fond sur la base d’un business model correctement construit et travaille dur pour hisser les couleurs nationales du Cameroun au pays de Barack Obama. Les Etats-Unis restent le pays de l’entrepreneuriat. Malgré la croissance constante de l’Asie et de l’Europe, pour de nombreux entrepreneurs mondiaux l’Amérique sera toujours le marché à conquérir. Les Etats-Unis sont la plus grande économie du monde et l’attitude et l’atmosphère de laisser-faire envers les entrepreneurs signifie que la communauté des affaires y est une plaque tournante pour les petites entreprises et les grands empires d’affaires.
Si la boutique ouverte ne vise pas directement l’enrichissement personnel de sa promotrice, puisqu’une partie des bénéfices générés sera réservée aux œuvres de charité, elle demeure un motif de fierté à entretenir jalousement. Persévérante, volontaire, la patronne de « Bree Culture » vit désormais chaque jour comme un moment d’angoisse, convaincue de l’impossibilité de parvenir à ternir les engagements, au risque d’altérer durablement sa renommée, et de décevoir clients et amis venus nombreux, dans le respect des mesures barrières en vigueur contre le coronavirus, acclamer l’heureuse initiative.
Brenda Biya compte mettre l’expérience acquise au fil des ans en veille pour laisser place à un inoxydable optimisme. Apporter une vraie valeur pour de vrais clients, est désormais son crédo. La finalité de son entreprise étant de bien vendre ses produits. Une fois la vitesse de croisière atteinte, l’imagination fertile de la jeune dame la poussera sans doute à réinvestir les premiers bénéfices pour assurer le développement en totale liberté. Le choix de Los Angeles, ville de lumières, est sans doute guidé par le souci d’établir d’étroites relations avec les autres professionnels exerçant dans la même filière afin de tisser une toile plus grande et forte. Dans une dynamique d’amélioration, la recherche continue de la simplicité est indiscutablement le meilleur atout de Brenda Biya pour s’approcher d’une certaine idée de la perfection. YES SHE CAN !