Patrice Nouma vient d’intégrer la boite à outils des nombreux cabinets noirs, mis à contribution pour décrédibiliser Samuel Mvondo Ayolo, le ministre, directeur du cabinet civil de la présidence, et par ricochet, celui qui préside aux destinées du Cameroun depuis le 6 novembre 1982. « Les dieux rendent fous ceux qu’ils veulent perdre », pensait Sophocle. Il y a lieu effectivement de croire que les hommes et femmes aux commandes des cabinets noirs contre Samuel Mvondo Ayolo sont devenus fous. Leur fin est donc certaine. La mise à contribution de Patrice Nouma, un indigent intellectuel, en est la preuve irréfutable. Ce lugubre personnage a perdu toute crédibilité en proférant des insanités contre le couple présidentiel. Les réseaux sociaux, reflet de l’évolution technologique, ont malheureusement donné le droit à la parole à cet imbécile qui avant ne parlaient qu’au bar et ne causait donc aucun tort à la collectivité.
S’en prendre à l’honorabilité de la première dame, hobby de Patrice Nouma, c’est évidemment se mettre à dos, l’ensemble des personnes, en majorité des nécessiteux qui bénéficient de la magnanimité de cette dame de cœur, par le biais de ses multiples œuvres caritatives réalisées à travers le monde depuis plus de deux décennies. Par ailleurs, Nathalie Moudiki est une dame très proche de l’épouse du président de la République. De fait, ses faits et gestes participent à préserver la confiance que lui fait la première dame du Cameroun.
Si les attaques éhontées et infondées contre Samuel Mvondo Ayolo sont creuses, la mise à contribution de Patrice Nouma dans cette sale besogne totalement abjecte. L’actuel directeur du cabinet civil de la présidence se caractérise, contrairement à ceux qui convoitent ce poste, par sa simplicité et sa bienveillance. Il s’agit là des qualités qui induisent beaucoup de gens en erreur, sur son sérieux et sa robustesse. Loin s’en faut, pour cet inoxydable. Il reste uniquement concentré sur l’essentiel : servir le président Paul Biya. Sous la conduite de ce grand sage africain, le Cameroun est en marche vers son émergence. Un objectif mis à mal par ceux-là les commanditaires de Patrice Nouma à travers la mauvaise conduite des projets structurants.
Les barrages hydro-électriques de Memve’ele et de Mekin, le complexe industrialo-portuaire de Kribi, le fer de Mbalam, l’usine des tracteurs d’Ebolawa sont des exemples de projets devenus de véritables éléphants blancs. Peut-on faire la lumière sur les conditions ayant entrainé la matérialisation mitigée de ces projets ? Si les grands esprits débattent sur les idées, le Cameroun compte une panoplie de grands dossiers avec impact direct sur la santé, la société, l’économie, etc. Dans la suite officielle du président Paul Biya en séjour en Europe depuis le 11 juillet, Samuel Mvondo Ayolo continue inexorablement sa mission de serviteur dévoué.