Assurément, Samuel Mvondo Ayolo se démarque grâce à une rigoureuse formation, puis un brillant parcours de diplomate. Après avoir établi que, « la diplomatie a pour tâche de dégager les harmonies cachées sous des oppositions apparentes afin d’obtenir une résultante », Richelieu, conclut que « la diplomatie est une science mais qui n’a jamais cessé d’être un art ». Répondant à l’appel de la fidélité du président Paul Biya, le 2 mars 2018, pour prendre la direction du cabinet civil de la présidence, après un passage remarqué à la tête de plusieurs missions diplomatiques à l’étranger, Samuel Mvondo Ayolo fait étalage de son grand art.
Sa fidélité et son dévouement envers le chef de l’Etat se traduisent par la pratique des lois de l’honneur et de la probité, le désir de vivre et travailler de manière vraie et pure, sincère et honnête. Dans le traitement des dossiers, il démontre une qualité morale, une attitude d’esprit, une vertu, une force de caractère qui excluent la tromperie et le mensonge. Initialement, il a le goût, la vocation. A cette base indispensable s’ajoutent le tact, la prudence, la capacité de garder un secret, la possibilité aussi de pouvoir rapporter exactement, sans les déformer ou les enjoliver, les propos qui lui sont tenus.
Il existe des qualités infiniment plus rares chez Samuel Mvondo Ayolo, et dont l’usage autour du chef de l’Etat a redynamisé plus d’un domaine. Il y a d’abord son jugement. Cette faculté faite à la fois de flair et de bon sens, qui amène le ministre, directeur du cabinet civil (DCC) à ne se tromper ni sur les hommes ni sur les évènements. « Connaître les gens heureux pour s’en servir et les malheureux pour s’en écarter », comme pensait Balthazar Grazian, est un crédo pour le DCC. Il y a ensuite le courage. Courage de dire la vérité aux apprentis-sorciers et autres esprits adeptes de l’inertie qui sans cesse rôdent autour des palais et pavillons présidentiels.
Pour remplir ses missions aux multiples facettes, Samuel Mvondo Ayolo entretient de bons rapports avec les interlocuteurs étrangers dans la préparation des voyages du couple présidentiel, d’où le calme retrouvé depuis quelques mois autour de leurs déplacements à l’étranger. Par une communication soignée, les actes du président de la République sont publiés sur des pages digitales officielles régulièrement mises à jour, pour ne laisser aucune place à la spéculation. Présent sur les réseaux sociaux, le président Paul Biya montre l’exemple d’une utilisation efficiente des technologies de l’information et de la communication. Véritable factotum, il n’est pas toujours compris du grand public. Peu importe. Il n’est pas en mission pour plaire au grand publique, mais, pour servir accomplissant rigoureusement les tâches confiées par son patron.
Le signifié du nom Mvondo à Meyomessala est une interpellation à la soumission, au respect de la volonté des ancêtres. Digne descendant d’une authentique légende portée de Mike à Messok, puisant source à Meyomessala, Samuel Mvondo Ayolo est appelé à continuer d’écrire l’histoire vraie, promesse d’un destin fabuleux. Une mission de supervision et d’écoute en toute finesse. Quand elles surviennent, les attaques, parce que sans fondement réel, l’homme sait les ignorer, s’en détacher pour rester libre et concentré sur l’essentiel : servir le président Paul Biya. Guidé par la justice, face à la clameur de ces esprits aigris, Samuel Mvondo Ayolo convoque la célèbre sagesse selon laquelle, « quand la conscience est propre, l’opinion des autres ne compte pas ». A chaque fois, le temps et la nature se chargent de faire éclater la vérité et remettre chacun à sa place.