C’est devant la presse, la société civile et les militants du Social Democratic Front (Sdf) que Joshua Osih a dévoilé son programme intitulé « Mon contrat avec la nation ». Un document qui renferme un ensemble de mesures clés sur six principaux chantiers.
Le premier aspect du programme est politique. Il met un accent sur la patrie qui se doit d’être réinventée. Une réinvention qui passe par la fédéralisation de l’Etat avec un régime présidentiel, une gouvernance inclusive efficace pour et par les Camerounais, une justice équitable, etc.
Sur le plan économique, il propose l’amélioration des conditions de vie des Camerounais par la revalorisation du pouvoir d’achat, un travail décent, l’égalité des chances. Il s’agit dans la même lancée de mettre sur pied un nouveau modèle de croissance au service des populations, de faire de nos avantages comparatifs des atouts compétitifs.
Joshua Osih marque une attention sur la réforme fiscale et budgétaire par un accompagnement de tous les contribuables, la création d’un régime fiscal des entreprises en difficultés et la redistribution de l’impôt. Il préconise aussi la mise en place d’une régie de TVA chargée du suivi en temps réel et du prompt remboursement des crédits de ladite taxe.
Les technologies de l’information et de la communication (Tic) ne sont pas en reste : le candidat du Sdf a un plan qui s’articule autour de la révolution numérique en vue d’inscrire le pays dans la modernité à travers des industries futuristes.
L’aspect socioculturel de son programme est axé sur la réappropriation de notre culture et de notre environnement pour nous réconcilier avec nous-mêmes et l’histoire du Cameroun.
Pour se faire, le candidat SDF propose de valoriser la créativité, capitaliser nos performances sportives pour que le Cameroun brille définitivement. Son idée est relative à la co-organisation de la Coupe du monde 2030.
En définitive, Joshua Osih dans son programme partage avec les camerounais une façon de construire un Cameroun ou tout le monde a la capacité de vivre sa vie rêvée.
