Les saisons se suivent et ne se ressemblent pas. La configuration, voire la coloration politique des visages au sein du rassemblement démocratique du peuple camerounais souffle un nouveau vent à la faveur de la jeunesse. Si dans la région du centre ce n’est pas le cas, la région de l’Est s’est arrimée à cette ère voulue par le chef de l’état si on s’en tient à sa circulaire qui définit le profil des candidats. Au niveau de la région de l’Est, s’il y’a des candidats sérieux, Blaise Moussa excelle et rime avec le profil. Ce haut commis de l’état prône le développement de manière inclusive, harmonieuse et participative. Il est certainement celui qu’on peut qualifier de « The right man at the right place ». Pour ce dernier il faut faire en sorte que les ressources de la région soient valorisées comme des actifs. Pour lui, il est question de faire en sorte que les ressources de la région soient valorisées comme des actifs avec des programmes bancables. Sur les raisons de sa candidature, il captive les attentions. « Je suis militant du RDPC depuis les premiers jours de mon âge d’adulte en 1994.Je me suis imprégné de l’ouvrage du président national pour le libéralisme communautaire, et qui s’en est imprégné peut être inspiré d’envisager le développement local, la décentralisation comme but ultime pour apporter le développement aux populations directement à la base », a-t-il expliqué au cours d’une émission à la télévision nationale. Sur la plus value de son programme, les atouts sont flatteurs. « Notre liste a été sélectionnée de façon rigoureuse de façon inclusive, de manière participative et basée sur le fait que les militants qui ont été choisis étaient ceux qui étaient réellement sur le terrain aux cotés des populations ou qu’ils soient. Ceci part de ce que nous tous sommes imprégnés du fait que la décentralisation est basée sur deux principes :la subsidiarité c’est-à-dire aller dans les domaines ou l’état a choisis de faire un transfert des compétences, et aussi la complémentarité, avec l’état qui s’occupe des problèmes plus complexes, mais aussi la complémentarité avec les communes qui sont d’autres types de collectivités territoriales décentralisées. Le nouvel acteur qui va être en quelque sorte l’organisateur du jeu du développement local dans la région sera bien le conseil régional, mais ceci de manière coordonné, convergente et cohérente avec les communes pour que nous puissions partager tous les principes et valeurs, mais également les standards qui vont nous permettre d’aller plus vite », poursuivait t’il. L’entreprenariat jeune reste dans la ligne de mire de son programme. « L’est va se manifester par son originalité .Cette originalité sera à la base de sa compétitivité et de son attractivité. Quand on parle d’attractivité et de compétitivité, on voit bien que le seul acteur ne pourra plus être l’état, encore moins la région, ou la commune, mais il faudra un moteur de développement qu’on appelle l’entrepreneuriat, parce qu’il faut créer de la valeur ajoutée », a-t-il expliqué.
Un Cursus académique et professionnel élogieux
Né le 21 MAI 1974 à Bétaré Oya dans le département du Lom et Djerem dans la région de l’Est, Blaise Moussa est marié et père de 07 enfants. Il est nanti d’une licence en science de gestion, DESS en administration fiscale, master en finances en cours et doctorant en cours sur les finances publiques et droit fiscal au sein de l’université de Toulouse -1 Capitale. Ces atouts lui permettent de mettre en exergue des éléments de formation continue portant sur le management des ressources financières et humaines, le management des projets/programmes/portefeuilles, le genre et le développemental, la passation des marché, les questions de normalisation, et d’amélioration continue. C’est à une sérieuse formation professionnelle Diplômantes de deux ans à l’école nationale d’administration et de magistrature qu’il s’est frotté, s’appropriant des questions de politique, d’administration et de finances publiques /fiscalité.
Le plan managérial de ce baroudeur est également très flatteur, avec un parcours professionnel de contrôleur des finances publiques au sein de la Direction Générale des impôts. Ce jeune inspecteur principal des impôts est présentement Directeur des affaires générales au ministère de la fonction publique et de la reforme administrative. Il n’a laissé que des réussites dans ses divers passages au sein des différentes administrations.
Le travail d’hercule à la FECAFOOT
L’on a pu constater sa maitrise dans la diversité à travers son passage à la Fédération Camerounaise de Football en tant que Secrétaire Général, ou il s’est illustré comme la cheville ouvrière lors de la campagne des lions indomptables du football du Cameroun lors de la CAN 2017, et à l’organisation fort aboutie de la CAN féminine de football du Cameroun en 2016. Il s’est dévoué à des actions de coordination des politiques, opérations et processus, procédures et taches de stratégie, de veille et de pilotage stratégiques/opérationnelles. La riche expérience acquise dans près de 25 pays du monde dans ce cadre est un sérieux atout.
Des reformes au sein de L’ANOR
Entre 2010 et 2015, il fut le poseur de balises, quand il cumulait les fonctions de Directeur administratif et financier, et Directeur de l’audit de la qualité, au sein au sein de l’agence des normes et de la qualité du Cameroun (ANOR).Il a conçu et mis en œuvre les outils et méthodes de pilotage stratégique, de performance opérationnelle et d’amélioration continue des compétences du personnel, des processus et du système organisationnel de la structure . C’est inéluctablement un coté managérial révélateur avec ces quatre années d’expériences. Il a participé à l’élaboration des documents de politiques et stratégie
Le soldat du RDPC
Au plan politique, pour la seule récente activité, il a joué un rôle déterminant avant et pendant le récent double scrutin du 09 Février en tant que responsable chargé de la sélection en tant que président de la commission de campagne et après en tant que mandataire du comité central du RDPC en vue de l’élection des exécutifs communaux, rôle que beaucoup n’ont pas bénéficié de cette confiance du parti dans le souci de sa bonne marche et de son rayonnement. Il a toujours bénéficié de cette confiance depuis 2013 dans le département. Toujours présent dans les diverses campagnes électorales, il se distingue par du concret. C’est ainsi qu’au sujet de la stratégie de la campagne des régionales, il a déclaré sur les ondes de la CR TV qu’il est question « Elaborer d’avantage, ramener au niveau de tout un chacun l’esprit du contenu dans la lettre circulaire en sorte qu’à la fois les militants et acteurs qui vont battre campagne sachent exactement quoi faire, quoi dire, mais surtout quoi ne pas faire, quoi ne pas dire ».
Un modèle de valeurs
Sur le plan intrinsèque l’homme excelle par des maitres mots. Ses collaborateurs trouvent en ce dernier une personnalité conviviale, doté d’un droit de réserve, autonome, avec un sens de l’initiative toujours maitrisé, l’obligation de rendre compte, exigeant dans la responsabilité en milieu organisationnel et respectueux du principe hiérarchique.
Représentant du MINFOPRA dans plusieurs comités interministériels
Son sens élevé dans la gestion des dossiers stratégiques lui a valu d’être permanemment sollicité comme représentant du ministère de la fonction publique et de la reforme administrative au sein des comité interministériel à Il a tour à tours été désigné comme représentant du MINFOPRA au sein du comité interministériel chargé des travaux de mise en place d’un guichet de facilitation des exportations des produits artisanaux dans les aéroports ,les ports et les frontières terrestres. Pareil au sein du conseil de direction de l’école nationale des eaux et forets de Mbalmayo, sans oublier sa contribution en tant que mandataire des activités connexes à la mise en service du nouveau système informatique de gestion des ressources humaines de l’état, et le SIGIPES2.
Témoignage officiel de satisfaction
C’est arrêté daté du 16 Novembre 2020 du ministre de la fonction publique et de la reforme administrative en application des dispositions des articles 111 et 112 du décret N° 94/199 du 07 Octobre qu’il lui a été discerné un témoignage de satisfaction pour son engagement décisif à la réussite des initiatives à résultats rapides pour le compte de l’exercice 2020.
A propos du conseil régional
La région a vocation d’être un espace économique et un cadre d’aménagement, de planification et de coordination du développementale conseil régional définit les orientations en matière de Developement de la région conformément aux grandes orientations nationales. A cet effet, elle discute et adopte les plans de développement régional, règle par ses délibérations, les affaires de la région et donne son avis sur toutes les questions qui lui sont soumises par l’état ou par d’autres collectivités. Elle délibère sur le budget primitif, le budget supplémentaire, le compte administratif et le compte de gestion de la région, etc. selon l’article 147.
Fort de cette incroyable ouverture d’esprit, et d’acquis fondamentaux de diplomatie et de coopération décentralisées, il sera le cadeau de la région de l’Est, car c’est un technocrate accompli, homme des grands dossiers financiers, travailleur, jeune et audacieux. Avec ses dispositions dans la stature, l’armure et la posture la région de l’est sera sans doute dans l’émergence voulue par le chef de l’état. Aussi il hissera cette région au niveau international comme cela a été le cas avec les réussites citées plus haut.